[Test] KillZone : Shadow Fall – PS4

killzone.jpgSorti en même temps que la console (bientôt 2 mois…), KillZone : Shadow Fall a été fortement utilisé par Sony pour mettre en avant la capacité de sa console.

On tiens le rôle de Lucas Kellan qui, suite à la cohabitation forcée avec les Helghasts, s’est fait expulsé de chez lui. Suite à une rencontre dans sa jeunesse, il devient Shadow Marshall et se retrouve à régler des conflits…

killzone.jpgSorti en même temps que la console (bientôt 2 mois…), KillZone : Shadow Fall a été fortement utilisé par Sony pour mettre en avant la capacité de sa console.

On tiens le rôle de Lucas Kellan qui, suite à la cohabitation forcée avec les Helghasts, s’est fait expulsé de chez lui. Suite à une rencontre dans sa jeunesse, il devient Shadow Marshall et se retrouve à régler des conflits entre Vektan et Helghasts des deux côtés du mur de séparation entre les deux peuples. Un scénario un peu simple, mais suffisant pour justifier l’action du jeu (ne connaissant que très peu la série, je ne sais pas s’il y a beaucoup de lien avec les précédents jeux).

Si Sony a beaucoup mis en avant le jeu, c’est d’abord parce qu’il est tout simplement impressionnant graphiquement. Textures, détails, animations, distance d’affichage, lumières… on est bien dans la nouvelle génération de consoles (et ce n’est que le début)! Malheureusement, cette débauche d’effets a parfois des impacts gênant comme le fait de ne presque plus rien voir en pleine confrontation à cause de toutes les lumières et explosions et surtout des halos qu’elles génèrent.

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Coté gameplay, bien que je ne sois pas un pro des FPS, je l’ai trouvé assez basique, seule la présence d’un drone qui nous accompagne apporte un plus. Ce drone permet d’attaquer les ennemis, de nous servir de bouclier, ou encore de faire du piratage. Et il s’avère bien utile, surtout en combat pour aller dénicher les ennemis planqués. Il permet également de nous soigner en dernier cas avant une mort certaine. D’ailleurs, la couleur de la LED de la manette varie selon notre état de santé.

Bien qu’il y ait beaucoup de choses que l’on peut voir avec la distance d’affichage du jeu, il reste une succession de couloirs, malgré des espaces parfois plus grands qui permettent d’opter pour différentes solutions, et des objectifs que l’on peut parfois faire dans l’ordre voulu. Le jeu se compose de 10 chapitres pour environ 10 heures, mais leur difficulté est inégale (parfois les ennemis vous voit de très loin dans les niveaux ouverts et d’autres passent à côté de vous dans des couloir sans vous voir).

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KillZone : Shadow Fall propose en emballage des plus plaisant laissant augurer du très bon pour les prochains jeux, mais au final qui reste ni mauvais ni exceptionnel. On s’amuse bien, mais il reste un peu trop classique.

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3 comments
  1. Ce qui est dommage c’est qu’on ne puisse pas jouer à Killzone en coop sur la même console! Je pense qu’en même me l’acheter, graphiquement il à l’air extra, après pour l’histoire en elle-même, ça reste un FPS, faut pas s’attendre à une révolution 🙂

  2. The Killzone Shadow Fall m’intéresse rien que pour le fait d’avoir bouclé les précédents épisodes. C’est Killzone 3 qui m’a fait craqué pour la PS3 à l’époque (soit longtemps après sa sortie), il est fort probable qu’il se passe la même chose avec ce nouvel épisode et le porte-monnaie ne va pas aimer ! Un bon jeu de tir pour passer à la PS4, l’argument se tient 🙂

  3. Killzone a souvent laissé l’impression d’une licence en demi-teinte. Bien que visuellement impressionnant, sa direction artistique ne semble pas avoir marqué les joueurs de manière persistante. La faute peut-être à un scénario un peu plat, qui ne permettait pas de s’attacher durablement aux personnages. C’est un des points sur lequel le studio Guerrilla a travaillé.

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