Driver San Francisco – PS3

Driver-San-Francisco.jpgRécemment mon beau frère m’a prêté le tout dernier Driver sorti en septembre dernier. Donc c’est parti pour un avis sur ce jeu…

Coté histoire, Jericho l’ennemi juré de John Tanner s’échappe durant sont transfert de prison. S’engage une course poursuite entre les deux protagonistes qui fini mal pour Tanner…

Driver-San-Francisco.jpgRécemment mon beau frère m’a prêté le tout dernier Driver sorti en septembre dernier. Donc c’est parti pour un avis sur ce jeu…

Coté histoire, Jericho l’ennemi juré de John Tanner – le personnage que l’on incarne – s’échappe durant sont transfert de prison. S’engage une course poursuite entre les deux protagonistes qui fini mal pour Tanner. Il (donc nous) se retrouve dans le coma à l’hôpital. La suite du jeu se passe dans l’esprit de Tanner qui est sur les traces de Jericho.

La principale nouveauté du jeu est le « shift » qui consiste à prendre la place de n’importe quel conducteur en survolant la carte (d’où le coma de Tanner pour justifier scénaristiquement cela). A part dans certain cas où il est impossible de shifter, il faudra user, voir même abuser du shift pour mener à bien les missions et autres activités que propose le jeu.

Neuf chapitres regroupant les missions principales (avec un récapitulatif, façon série TV au début) sont présent pour seulement 6 heures de jeu environ. Mais pour gonfler la duré de vie, un grand nombre d’activités et défis sont présents partout dans la ville et qui amène une dizaine d’heure de jeu supplémentaires. Courses à base de checkpoint, courses poursuites coté flic ou voyous sont parmi les activités proposés. Et les défis souvent très rapide, du genre rouler tant de km à telle vitesse sans accrochage, sont également présents. Il faudra pour éviter de s’ennuyer face à la réceptivité des défis et activités alterné tout ça avec les missions principales.

Plus de 120 véhicules pourront être conduit, mais aussi acheter dans des garages (à acheter également) grâce aux points de volonté glanés en conduisant de manières sportives et en finissant les défis et activités.

Coté Jouabilité, le jeu se prend facilement en main avec son coté arcade (turbo inclu), mais l’utilisation du shift déroute un peu, principalement au début. Il n’est pas naturel de changer de voitures à la volé dans un jeu, et on a tendance à ne pas assez l’utilise au début. Après quelques missions cela devient presque instinctif.

La ville composée de plus de 300 km de route est bien grande et variée, mais malgré un nombre important de véhicules y circulant et des piétons présents (que l’on ne peut pas renverser) elle semble manquer de vie. Surement la faute à une ville bien trop propre dans ces textures. Probablement une concession faite pour garder une fluidité sans faute durant tout le jeu.

Le jeu m’ayant été prêté, je n’ai pas lancé le mode multi en ligne à cause du pass on-line, mais je viens de découvrir qu’il n’y en pas besoin, Ubisoft ayant eu des problèmes avec de nombreux codes, le pass on-line n’est plus indispensable. J’irai donc y faire un tour…

Mais j’ai tout de même pu gouter au jeu en multi sur écran partagé (si peu de jeu le propose encore…). Avec 8 mode de jeu (coop ou versus), je ne me suis pas ennuyé. Que ce soit des courses classique (donc sans shift), des poursuites (flic ou voyous) en passant par des modes plus originaux comme « le trophée » (qui consiste à foncer dans l’autre pour lui prendre le trophée et marqué des points) ou la course aux checkpoints (passé sous un nombre défini de checkpoint avant l’autre) en abusant du shift pour rester au plus proche du concurrent, le plaisir est bien là.

En conclusion, c’est une renaissance pour la série Driver – après un épisode Driv3r considéré comme catastrophique – grâce au shift, même si le scenario est un peu trop tiré par les cheveux.

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