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Aujourd’hui, la lettre I. Le choix du jeu est venu tout seul à moi cette fois avec un point&click (oui encore) que j’ai adoré, Indiana Jones et le Mystère de l’Atlantide (Indiana Jones and the Fate of Atlantis) édité par LucasArts sorti en 1992 qui est la suite d’Indiana Jones et la dernière croisade sorti en 1989.
Le jeu est un point&click dans la ligné de tout ceux édité par LucasArts (Maniac Mansion, Monkey Island…) fait avec le moteur…
Retour de l’abcédaire après quelques semaines d’absence durant les fêtes, chaque semaine (enfin presque) je parlerais d’un jeu, souvent ancien, auquel j’ai joué et dont j’ai envie de parler pour une raison ou une autre. Et comme la rubrique s’appelle l’abécédaire, je vais faire prendre un jeu pour chaque lettre de l’alphabet. Les jeux sont choisit sur un critère totalement subjectif (je ne prêtant pas choisir LE meilleur jeu), et si vous avez d’autres titres correspondants à la lettre de la semaine, n’hésitez pas à partager votre expérience avec ce jeu.
Aujourd’hui, la lettre I. Le choix du jeu est venu tout seul à moi cette fois avec un point&click (oui encore) que j’ai adoré, Indiana Jones et le Mystère de l’Atlantide (Indiana Jones and the Fate of Atlantis) édité par LucasArts sorti en 1992 qui est la suite d’Indiana Jones et la dernière croisade sorti en 1989.
Le jeu est un point&click dans la ligné de tout ceux édité par LucasArts (Maniac Mansion, Monkey Island…) fait avec le moteur SCUMM (Script Creation Utility for Maniac Mansion) utilisé dans une douzaine de jeux à succès de l’éditeur.
Bien que le jeu ne soit pas basé sur un film, on y retrouve complètement l’esprit de la saga avec un scénario solide, des nazis, une jolie femme qui aide le docteur Jones, de la mythologie, de l’action… Et comme on est dans un point&click, il ne faut pas oublier une bonne dose de réflexion et d’énigmes, tout cela dans des environnements variés (Crête, Amazonie, Algérie…).
Du point de vue gameplay, Indiana Jones et le Mystère de l’Atlantide utilise le système à 9 verbes/actions (regarder, ouvrir, utiliser, parler…), mais une des grandes forces du jeu était de permettre – à partir d’un certain point de l’aventure – de choisir la façon de jouer : réflexion (plus d’énigmes), action (plus de combats) et coopération (compromis entre les deux).
Avec une histoire très intéressante, un gameplay plus que réussi, la possibilité de jouer comme on le désire, Indiana Jones et le Mystère de l’Atlantide fut une plus grande réussite des jeux d’aventure en point&click. Si seulement LucasArts se remettait à faire des jeux comme ça…
Comme toujours, n’hésitez pas à partager votre jeu correspondant à la lettre de la semaine
