Après une première édition l’année dernière, la Digital Game Show est revenue cette année (le 7 et 8 mai) avec un nom légèrement diffèrent, car il y a Manga en plus. Du coup, la culture japonaise s’est invité au salon, ce qui n’est pas désagréable.
Malheureusement cela semble avoir eu un gros impact au niveau de ce qui m’intéressait le plus (tout comme un ami venu avec moi le samedi et aquab0n venu le dimanche)…
Après une première édition l’année dernière, la Digital Game Show est revenue cette année (le 7 et 8 mai) avec un nom légèrement diffèrent, car il y a Manga en plus. Du coup, la culture japonaise s’est invité au salon, ce qui n’est pas désagréable.
Malheureusement cela semble avoir eu un gros impact au niveau de ce qui m’intéressait le plus (tout comme un ami venu avec moi le samedi et aquab0n venu le dimanche) : le jeux-vidéo. Alors que l’année dernière la surface du jeux-vidéo (le salon a eu lieu dans la même salle) m’a semblé être passée de presque 2/3 à moins d’1/4 (alors que plus de bornes avaient été annoncées – ce qui n’a vraisemblablement pas été le cas).
Pire, il a fallu chercher longtemps pour trouver une exclusivité (on est même tombé dessus par hasard) : Shadow of the Beast – exclusivité PS4 sortant la semaine prochaine et qui malgré un coté bien bourrin semble prometteur. Le reste des jeux étaient sortis plus ou moins récemment (de 1 semaine comme Battleborn à plusieurs mois comme Splatoon) sur toutes les consoles (D’ailleurs aucune PSVita n’était présente).
Du coup pour le jeu-vidéo, nous nous sommes rapatrié sur autre choses : Ludus Académie / La Chronique Du Geek et surtout les indépendants. Chez Ludus Académie du retro nous attendais, mais aussi et surtout un Game and Watch géant du jeu Parachute (avec le Game and Watch original et des amiibos parachute pour décorer).
Et au final c’est chez les indépendants que nous avons passé le plus de temps malgré leur trop faible nombre. Dungeon Rushers : un RPG au tout par tour qui sort en early sur Steam demain et développé par un studio alsacien, Jungle Crash : un jeu mobile – malheureusement seulement iOS pour le moment – où il faut faire le meilleur score (plus technique qu’il n’y parait), Square Arena : un jeu multi coopératif ou compétitif à 4 très facile à prendre en main et sympathique et Arena Of Eternity (mon préféré) : un jeu de carte connecté qui se joue grâce à la technologie NFC et qui demande beaucoup de réflexion. Je ne peux que vous conseiller de vous renseigner sur ces jeux…
Plus de la moitié de la surface du salon était dédié à des boutiques diverses et trop nombreuses en proportion (boissons/nourritures, goodies, goodies, goodies …), et une surface important était aussi reservée aux nombreux Youtubeurs venus pour l’occasion. A voir la fille devant chacun, cela a l’air d’avoir plu, mais personnellement je n’en connaissait quasiment aucun, mais il semble que je ne sois pas leur cible (plutôt adolescent(e)).
Autre invités plus marquants, Tom Wlaschiha, l’acteur qui incarne Jaqen H’ghar dans la série Game of Thrones (dédicaces et photos payantes, mais il y a eu une interview sur scène), et surtout Kayane qui s’est vu défier tout au long des 2 jours sur son jeu favori Street Fighter et qui sait toujours aussi bien mettre l’ambiance malgré la facilité qu’elle a à battre tout le monde.
Avec l’ajout du Manga, Digital Game Manga Show semble vouloir faire un mix entre la Japan Expo et la Paris Games Week, s’en pour autant avoir les mêmes moyens, ce qui fait que le salon n’a ni la saveur de l’un, ni de l’autre. Pire, le jeux vidéo ont beaucoup perdu cette année… En espérant que cela s’améliore pour la prochaine fois, car un salon comme cela a sa place dans l’est.