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Second fer de lance de la PS4 (avec Killzone Shadow Fall) signé par les équipes de développement Sony, Knack a fait couler beaucoup d’encre depuis sa première présentation jusqu’à sa sortie et les premiers tests, mais qu’en est-il vraiment de ce jeu d’aventure/plateforme ?
Second fer de lance de la PS4 (avec Killzone Shadow Fall) signé par les équipes de développement Sony, Knack a fait couler beaucoup d’encre depuis sa première présentation jusqu’à sa sortie et les premiers tests, mais qu’en est-il vraiment de ce jeu d’aventure/plateforme ?
Grâce à un ancien artéfact, un professeur est parvenu à créer une créature au nom de Knack qui tire sa force des reliques provenant d’une civilisation ancienne et servant d’énergie à tous les appareils de ce monde. C’est à ce moment que les gobelins déclarent la guerre aux humains et que l’on va prendre en main Knack pour aider les humains mais aussi pour combattre d’autres ennemis qui apparaîtront au cours du scénario.
Le principal pouvoir de Knack est donc de pouvoir « absorber » des reliques afin de se faire grandir et grossir pour devenir plus fort et résistant. Si il est agréable de le voir ainsi évoluer d’une créature chétive d’un mètre de haut qui peine à tuer certains ennemis à un monstre les tuant en un coup, voir même en les écrasant sous ses pieds, ce schéma se présente à chaque chapitre au moins une fois.
Car grâce à diverses raisons liées au scénario, Knack se verra obliger de revenir à son état de base à de très nombreuses reprises si bien qu’à part dans les 2 derniers chapitres (où Knack garde une taille raisonnable) on n’a pas l’impression que notre personnage évolue au fur et à mesure comme dans la majorité des jeux, ce qui donne un sentiment de répétition.
Il y a bien des pouvoirs supplémentaires mais qui s’obtiennent rapidement (au 3ème chapitre maximum), mais surtout la possibilité d’absorber d’autres éléments que les reliques comme du bois (qui peut prendre feu et donc on perd de la vie/force), de la glace (qui fond au soleil) ou bien du métal (qui est attiré pas les aimants) ou encore la possibilité d’utiliser du vert et devenir transparent pour ne pas déclencher d’alarmes.
Malheureusement cela n’arrive pas si souvent que ça dans les 13 chapitres du jeu, chacuns découpés en 3-4 niveaux. De plus les niveaux sont pour la plupart (à part 2-3 endroits) de simples lignes droites ponctuées par des mini-arènes où l’on doit obligatoirement tuer les ennemis.
D’ailleurs un des gros reproche qui a été fait au jeu est sa difficulté (lors de ces mini-arènes ou des boss). Oui, beaucoup d’ennemis nous tuent en un coup (même en difficulté normal) surtout quand on n’est pas trop grand, les mini-arènes s’enchaînent souvent sans point de sauvegarde, mais cela fait partie du charme du jeu. Si l’on devait juste à avancer en ligne droite en appuyant comme un fou sur le bouton d’attaque l’intérêt du jeu serait bien moindre !
Au final, avec ses défauts et ses qualités, Knack est un jeu agréable qui m’a bien plu. Pas au point de me relancer dans l’aventure en difficile pour le platiner, mais qui mérite le coup d’œil contrairement à ce qui peut être dit.
bon test qui resume bien ce que vaut le jeu.
interessant mais pas revolutionnaire, je crois que ce qu’on lui reproche le plus c’est qu’il aurait pu sortir quasiment tel quel sur ps3
Pour ceux qui aime la plateforme/action old school enfin de l’époque de la PSone, ce jeu vaut vraiment le coup! j’ai été plus qu’agréablement supris par son gameplay exigeant mais jamais injuste… une fois qu’on a compris l’enchaînement c’est facile mais faut parfois plusieurs essai … graphiquement je le trouve next gen. certes c’est pas…