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Après avoir été une chèvre qui aime tout détruire dans Goat Simulator, place aux chats presque aussi destructeurs avec Catlateral Damage sur PS4 disponible en téléchargement pour 12€ et développé par une seule personne : Chris Chung.
En vue à la première personne (je ne sais pas comment dire pour un animal !), Catlateral Damage nous permet de contrôler divers chats dans un but simple : détruire…
Après avoir été une chèvre qui aime tout détruire dans Goat Simulator, place aux chats presque aussi destructeurs avec Catlateral Damage sur PS4 disponible en téléchargement pour 12€ et développé par une seule personne : Chris Chung.
En vue à la première personne (je ne sais pas comment mieux dire pour un animal !), Catlateral Damage nous permet de contrôler divers chats dans un but simple : détruire tout ce qui nous passe dans les pattes (livres, vases, plantes, appareils électroniques…). Enfin pas vraiment détruire, mais simplement faire tomber par terre, puisque rien ne se casse dans le jeu, pas même les choses les plus fragiles.
Il faut donc sauter sur les meubles, tables, armoires, étagères… afin de donner des coups de pattes (avec les gâchettes) pour tout renverser. Si un objet est bloqué, il est possible de l’attraper avec la bouche pour le déposer ailleurs. Si le jeu donne certains objectifs (faire tomber X type d’objet par exemple) pour avoir plus de points, il faudra toujours faire tomber le plus de choses possibles en temps limité, ce qui est fort répétitif.
Et ce n’est malheureusement pas le grand nombres de chats, ni certains objets qui n’apparaissent que rarement, ni même les niveaux qui se créent aléatoirement (dans plusieurs types d’environnement) qui permettent de ne pas ressentir un certain ennuie au bout de seulement 2 heures de jeu (voir même moins). Les graphismes trop simplifiés et les sons moyens n’aident pas non plus à rentrer vraiment dans le jeu.
Bien qu’original, Catlateral Damage ne saurait pas vous retenir plus de 2 heures, car passée la curiosité, l’ennuie arrive bien vite à cause d’une forte répétitivité et d’un manque d’objectif intéressant. A réserver aux amoureux des chats, et encore…