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Quelques mois après la version PS3 (à laquelle je n’ai pas eu la chance de jouer), voici la version PS Vita qui débarque aujourd’hui même sur le PlayStation Store. Et oui, c’est la première fois que je publie un test avant la sortie du jeu ^^.
Puddle est un jeu où il faut amener du liquide de toute sorte…
Quelques mois après la version PS3 (à laquelle je n’ai pas eu la chance de jouer), voici la version PS Vita qui débarque aujourd’hui même sur le PlayStation Store. Et oui, c’est la première fois que je publie un test avant la sortie du jeu ^^.
Puddle est un jeu où il faut amener du liquide de toute sorte (voir même très exceptionnellement du solide) à la fin du niveau en évitant de perdre trop de liquide dans les différents pièges tout au long des 49 niveaux composants le jeu.
Pour avancer dans les niveaux, c’est très simple. Ce n’est pas le liquide que l’on contrôle directement, mais le niveau tout entier. On peut le pencher à gauche ou à droite afin de faire s’écouler le liquide dans un sens ou dans l’autre. Rien de plus, rien de moins. Et pour faire cela, plusieurs options possibles. Soit on utilise les contrôles déjà disponibles sur PS3, le joystick gauche ou les boutons L1/R1, soit on utilise les capacités de la PS Vita, le gyroscope ou la pavé tactile arrière.
J’ai commencé le jeu avec le gyroscope, donc en penchant la console, et c’est très précis. Je n’ai pas eu de problème particulier à finir les premiers niveaux (même si ce ne sont pas les plus durs au début). Mais vers la moitié du jeu, 2 niveaux sont particuliers au niveau gameplay, car il faut alternativement aller de gauche à droite pour simuler le flux sanguin. Et quand il faut accélérer, pencher la console rapidement n’est pas du tout aisé.
J’ai donc basculé pour le contrôle au pavé tactile arrière qui consiste simplement à toucher le coté où l’on veut que ça penche. J’ai pu passer les 2 niveaux et j’ai gardé ce contrôle (qui est celui par défaut) jusqu’à la fin car certains niveaux sont très durs, et cela m’a semblé plus facile qu’au gyroscope.
8 mondes regroupant chacun 8 niveaux (si vous avez bien compté et suivi, il en manque un dont je parlerais plus tard) vaguement relié entre eux par des petites cinématiques, sont donc à explorer. Ils sont de tous genres (égout, corps humain, centrale…) et les liquides associés varient tout autant. Cela va de l’eau (qui craint la chaleur), au métal en fusion (que l’on doit régulièrement réchauffer) en passant par de l’engrais (à tenir éloigné des fleurs) ou encore de l’encre.
A la fin de chaque niveau, une médaille est décernée selon le temps que l’on met pour le finir, mais aussi et surtout selon la quantité de liquide que l’on a ramené à la fin (le tout avec un calcul un peu complexe). Comme expliqué plus haut, les différents liquides craignent tous quelque chose de particulier et ont tendance à disparaître rapidement au contact de ces choses. Et il arrive aussi régulièrement de perdre une partie du liquide en cours de route (dans un trou, en bas d’une monté trop forte…).
Il faudra donc faire attention à tout cela dans les niveaux pour ne pas descendre en dessous du niveau minimum de liquide sous peine d’élimination et de devoir recommencer le niveau depuis le début. Et c’est la que l’on touche à un point qui pourra gêner pas mal de joueurs (mais qui moi ne m’a pas du tout rebuter), le jeu est un pur die and retry, surtout sur la 2ème partie du jeu où le niveau sont vraiment plus dur.
Pour gagner l’or, et même simplement finir le niveau sans médaille il faut faire et refaire certains niveaux pour les connaître par cœur en tombant dans chaque pièges les uns après les autres. Pour le dernier niveau, j’ai du faire au moins 50 essais pour simplement le finir de justesse, je n’imagine pas combien il m’en faudra pour l’or… Surtout qu’il n’y a pas de checkpoint, une erreur et il faut tout refaire (et pas mal de niveaux font plus de 2mn !).
J’ai fini les 48 niveaux en un peu moins de 1h10mn (j’étais classé 10e sur plus de 1000 personnes ^^), mais attention, ce n’est que le cumul des temps de chaque niveau. Cela ne prend pas en compte les multiples essais et surtout ratés que j’ai fait avant de passer certains niveaux. Je pense avoir mis dans les 4 heures pour finir les 48 niveaux sans avoir essayé d’obtenir une meilleure médaille une fois le niveau réussi. Il me faudra encore plusieurs heures pour avoir toutes les médailles d’or.
Un point rapide sur la réalisation, comme vous pouvez le voir sur les copie d’écran que j’ai fait, c’est assez varié, mais toujours relativement joli. Et les liquides se comportent de façon réaliste en se séparant ou se regroupant avec des effets de vague et d’inertie.
Pour finir, le 49ème niveau est un niveau bonus accessible grâce au code « croix, croix, carré, rond, rond, rond, triangle » à faire sur l’écran des crédits qui se nomme Pixels et qui comme son nom l’indique se passe dans un monde très pixélisé rempli de référence à de nombreux jeux d’époque 8/16-bit (Mario et Sonic pour ne citer qu’eux).
En conclusion, c’est un jeu que j’ai grandement apprécié et qui vous fera passer de nombreuses heures pour environ 7€ (surtout si vous chercher à finir le jeu à 100%). Une démo avec les 4 premiers niveaux sera également téléchargeable aujourd’hui, et même si ce ne sont pas des niveaux trop durs, cela permet d’avoir un aperçu du gameplay. A essayer d’urgence si vous avez un Vita (et aussi sur PS3)…
Hello !
Ce test me donne vraiment envie de l’essayer 🙂
En plus, j’adore ce genre de jeu…