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Offert aux abonnées PS+ le mois dernier, et disponible pour environ 13€ pour tous, Hell Yeah! : La fureur du Lapin Mort (développé par des français) est un jeu de plateforme assez atypique dans sa forme, mais qu’en est-il de son fond ?
Pour commencer, voici un résumé de l’histoire. Nous sommes dans la peau de Ash, un lapin prince de l’enfer…
Offert aux abonnées PS+ le mois dernier, et disponible pour environ 13€ pour tous, Hell Yeah! : La fureur du Lapin Mort (développé par des français) est un jeu de plateforme assez atypique dans sa forme, mais qu’en est-il de son fond ?
Pour commencer, voici un résumé de l’histoire. Nous sommes dans la peau de Ash, un lapin prince de l’enfer (qui n’a plus de peau ni de pelage d’ailleurs) prêt à se venger contre un crime qui a été commis envers lui. Et oui, il a été pris en photo dans son bain en train de jouer avec un canard en plastique. Il va donc tenter de tuer tous ceux qui ont vu la photo sur le Hellnet (l’internet local) et des responsables de la photo.
Cette histoire assez déjanté se déroule dans un univers ai style cartoon assez joli, varié, très coloré et surtout extrêmement gore. 10 niveaux rempli de petites créatures, d’argent à récupérer, mais surtout de 100 boss différents nous attendent. Si les créatures de bases ne poseront pas de problème à Ash, les boss seront plus résistants.
Pour être plus efficace contre eux, le magasin permet d’acheter des nouvelles armes, de les améliorer, d’avoir des bonus… Mais il faudra parfois aussi utiliser l’environnement du jeu pour les vaincre (faire tomber quelque chose sur eux par exemple). Une fois presque battu, il ne reste plus qu’à les achever grâce à un mini-jeu (il y a en un grand nombre de différent, très rapide et défoulant) résultant sur la mort du boss dans d’énormes souffrances et de jets d’hémoglobine. Très classe !
Pour le reste, Hell Yeah! est un jeu de plateforme assez classique et efficace malgré une inertie un peu trop importante que ce soit à pied, ou en jetpack-foreuse. Les points forts du jeu sont l’humour omniprésent et les très nombreuses références aux jeux vidéo, mais aussi aux classiques de l’univers geek (DBZ par exemple). Mais malheureusement, le jeu devient vite répétitif, trop répétitif et ce dès le quart de l’aventure. Au delà, la difficulté augmente, mais cela reste toujours la même chose.
Chaque monstre vaincu est envoyé dans un île où l’on peut les faire travailler pour obtenir des bonus dans le mode histoire, cela aurait pu être intéressant, mais on ne gagne pas grand-chose d’exceptionnel, ce qui rend l’île très anecdotique.
Malgré un coté répétitif, Hell Yeah! est un bon jeu, défoulant et intéressant, mais à petit dose. Il vaut mieux préférer des séances de jeu courte plutôt que d’essayer de finir le jeu d’un coup si on ne veut pas se lasser du gameplay.