C’est sur PS4 et plus exactement sur Rocket League que j’ai obtenu mon dernier platine, le 46ème. Pour ceux qui ne connaissent pas le jeu, c’est un jeu de foot avec des voitures !
Offert dans le cadre du Playstation Plus en juillet, Rocket League est la « suite » de…
C’est sur PS4 et plus exactement sur Rocket League que j’ai obtenu mon dernier platine, le 46ème. Pour ceux qui ne connaissent pas le jeu, c’est un jeu de foot avec des voitures !
Offert dans le cadre du Playstation Plus en juillet, Rocket League est la « suite » de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars sorti en 2008 sur PS3. J’avais beaucoup apprécié et joué au jeu sur PS3 bien que je n’avais pas un super niveau.
Ce petit niveau m’a aidé à ne pas trop prendre de raclés, même si pour le platine gagner n’est pas le plus important. Il y a bien des trophées liés aux victoires, mais en championnat contre des bots en facile, ces trophées sont vite fait. D’ailleurs en 2 heures il est possible de faire plus de la moitié des trophées (en pourcentage) sans difficulté.
Mais il y a 2 trophées plus long et qui demandent de jouer de longues heures (mais heureusement plaisantes) en ligne. Le premier est celui qui demande de débloquer tous les accessoires, décorations… Sachant qu’à chaque match un élément est débloqué et qu’il y en a plus de 100, il faut donc faire autant de matchs (gagnés ou perdus).
Le second demande de rouler 500km. En regardant les types de pneus que l’on peut équiper, on peut calculer le nombre de kilomètres fait par match, et c’est à peine un kilomètre. Heureusement (et bizarrement), ces kilomètres ne sont pas les mêmes que ceux comptés pour le trophée. Mais il m’a fallu tout de même de nombreux matchs avant de voir ce dernier trophée arriver et par la même occasion le trophée Platine.
Même si vous ne cherchez pas à le platiner, je ne peux que vous conseiller de jouer à Rocket League. D’ailleurs ce n’est pas parce que j’ai eu le platine que je vais arrêter d’y jouer…